HENRI SAULDUBOIS Peintre montbéliardais 1898-1981 |
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ENTRE DEUX GUERRES
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Années
1970 sur les rives du Doubs |
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Enfance et jeunesse |
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Guerre 39-45 | Après guerre | 1952-1974 | Retraite | ||||||
Le retour
Revenu à la vie
civile, sa passion du dessin et de la peinture est
toujours là. Mais il faut vivre. Soutenu par sa famille, encouragé par
des
amis, il reprend ses études. On le verra à Melun en 1922.
Pour commémorer la
victoire de la guerre 1914 - 1918, les anciens
combattants plantent “l'arbre de la victoire”, place de la mairie,
Montbéliard.
Ce fait nous est restitué par un de ses dessins. Il avait croqué la
scène……
Avec humour ! Dans ce quartier
qui était aussi le sien, faut-il le rappeler, il
réalise l'enseigne de l'hôtel du Lion Rouge, accrochée à l'élégante
passerelle
enjambant Monsieur Blazer dans son ouvrage
:
“Transformations montbéliar-daises”, édité en 1932 mentionne cette
réalisation, en écrivant : C'était, il est vrai, un
impressionnant lion rouge qui se pavanait au-dessus de la rivière !
Le 9 novembre 1924
voit l'inauguration du monument aux morts de la
guerre 1914 -1918 par le général Gouraud, aux pieds du château. C'est
Armand
Bloch (sculpteur montbéliardais et grand-oncle de Maurice Bloch,
marbrier) qui
réalise le monument, déplacé, depuis au square Paul de Riesener. Il est
également l'auteur du Saint Joseph, statue de bois, visible à l'église
Saint
Mainboeuf, dans la chapelle de droite. Le dessin du programme est
signé H. Sauldubois.
Sur le monument, on peut lire: "Montbéliard à ses enfants". Une
banderole dessinée sur le programme réplique: "Morts, nous restons
vivants
au cœur de la cité". L'installation
- Peintre
en décors
-
Dessins
- Décors pour théâtres et fêtes
-
Composition
d'affiches et dessins de publicité
-
Enseignes
ordinaires et décoratives
- Ornements
de style - Faux-bois - Marbres L'éventail
est large et les possibilités nombreuses ! Il
travaille pour
différents entrepreneurs de la ville, Wendling,
Gallizia, etc.. Puis il monte son entreprise. Il achète en 1929 une
maison
au 49
avenue des Alliés à Mr Georges Belfils, charpentier de son état.
Georges Belfils avait construit cette maison en 1872 sur le "pres de la
Mouchotte". Henri s'associe avec M. Charles Guigon qui prend en
charge
les
travaux de plâtrerie et peinture. Les autres activités de dessin et de
décoration restent à l'actif d'Henri Sauldubois. Cette association dure
quelques années. C’est là que Janine naît, puis six ans plus
tard,
Andrée, sa sœur cadette.
Bien connu,
maintenant, il est demandé pour des travaux d'enseignes,
de décorations, par les nombreux commerçants d'alors, ainsi que, pour
les
différentes festivités et foires artisanales : sa créativité et son
coup de
crayon sont appréciés ! A Montbéliard se développe une activité très
importante. Il est vrai que l'usine Peugeot à Sochaux et les petites
industries
du Pays, la brasserie de Sochaux (1843 - 1955), drainent déjà beaucoup
de
monde.
La maison de
l'avenue des Alliés, achetée au menuisier-charpentier
Belfils, reçoit donc le jeune couple. Les ateliers s'y rattachant
conviennent
tout à fait pour tous les travaux, si divers, qui s'y réalisent. C'est
alors
encore la périphérie de la ville, mais aussi la rue des artisans et
commerçants, cafetiers, entrepôts, toute voisine de la gare des
marchandises
(disparue en 1943) et du "Coinot", si pittoresque quartier d'alors.
Il s'est érigé en commune libre et possède ses journaux, presse plutôt
marginale et satirique. Ils ont pour nom "Le Petit Teufion", " Pour les
non-Trissus et les nouveaux montbéliardais, quelques
traductions sont à faire.
- Virlitou: petite toupie à 6 pans que
l'on activait en la tournant entre les doigts et qui servait un peu
comme les
dés aujourd'hui. En parlant du
"Virlitou", comment
ne pas évoquer Marcel Richardot, brillant professeur, poète et
conférencier.
Une sérieuse amitié le lie à Sauldubois et donne naissance au projet
commun
d'un album: "Les Trissutises" que ce dernier devait illustrer.
Malheureusement, Richardot décède prématurément et ce projet ne voit
pas le
jour.
Le "Virlitou" est
agrémenté des caricatures de
Sauldubois. Un dessin du 10 octobre 1930 nous fait connaître les
membres du
gouvernement de Il
propose ses oeuvres aux regards du public. Comme toutes les années, Mr
Receveur, conservateur du musée Minal d'Héricourt (70) organise une
exposition de peinture au bénéfice d'une oeuvre de bienfaisance.En
1933, il fait appel aux peintres régionaux.
Un an après la
disparition de notre artiste, l'Est Républicain
dans son édition du 2 septembre 1982 et sous la plume de J.P.
Germonville, à la
rubrique "un quartier, une histoire" publie un de ses dessins de
quelques-unes des figures bien connues du Coinot: Paul, le frère de
Georges
Hantz, tous deux bouchers charcutiers et Bull, ancien propriétaire du
café du
14 juillet.
Les années
passent... Les dessins restent. Quels témoignages! L'avenue des
Alliés jouit aussi d'une certaine animation : à
l'angle de la rue de l'étuve, pratiquement à l'emplacement du C.I.A.L.
d'aujourd'hui, on trouve le café Ruffier avec son jardin et sa
terrasse, devenu
plus tard hôtel de France. Puis viennent les établissements des frères
Sittler,
négociants en vins, spiritueux et eaux gazeuses, puis l'impasse de La maison d'habitation et les
ateliers
de Fernand Bloch, sculpteur et marbrier bien connu, jouxtent ces
entrepôts. Il
me souvient de sa figure affable, de sa barbe florissante, de sa voix
grave et
calme. Je ne peux m'empêcher de mentionner les deux portes si joliment
sculptées, animant la façade de la maison, dont une spécialement,
comportant
une tête de lion. En fait c'est la seule entreprise de la rue encore en
activité, puisque le flambeau a été repris par le fils de Fernand,
Maurice,
premier ouvrier de France en taille de pierre (1965). C'est dans un
accident de
la route, en revenant d'un chantier, le 23 juillet 1992, qu'il trouve
la mort à
Pont de Roide. Depuis, l'immeuble a vu passer différents repreneurs.
Qui se souvient des établissements Latscha ? Ils sont voisins de la propriété Bloch. On peut y voir déambuler les voitures à chevaux, peintes en jaune et tirées par de belles bêtes grises pommelées. C'est Monsieur Latscha père qui est à la tête de l'entreprise. Il a recours à l'inspiration et au travail de Sauldubois pour réaliser une publicité sur la façade de son garde meuble regardant la route d'Héricourt, devenue depuis la libération, rue du Général Leclerc. C'est une immense diaichotte emportant à grands pas une cafetière et une horloge comtoise : symbole qu'au pays, on trouvait déjà un transporteur compétent ! Après la débâcle de 1940, qui voit la mort de Monsieur Latscha, tué dans la côte de Bondeval en évacuant ses chevaux lors de l'avance allemande, ses fils reprennent la "maison", c'est-à-dire l'entreprise. On se motorise. Derrière les véhicules, on peut lire: "Cornez, notre chauffeur prendra sa droite". (Pour corner, c'est à dire avertir, on utilisait un objet comprenant une poire en caoutchouc activée à la main qui envoyait de l'air dans une corne. C'était l'ancêtre du klaxon). On était courtois en ce temps là ! Une publicité datant de 1942, stipule : "Latscha, par route et par fer". Au n° 47, c'est
chez Tonna, le rétameur. Là, ce sont des odeurs d'acide sulfurique qui
nous
parviennent. Les ustensiles sont d'abord décapés puis trempés dans le
bain
d'étain fondu. Ils en ressortent tout beaux, luisants, comme neufs.
L'épouse de
Monsieur Tonna répare les ombrelles et parapluies, tout en chantant des
refrains italiens, souvenirs de son enfance. Un jour est consacré à la
"chine", terme un peu populaire pour dire que Monsieur Tonna parcourt
les différents quartiers de la ville et même les villages d'alentours.
Il
quémande et se fait remettre pour l'étamage les couverts, louches, pots
à lait,
moulins à légumes, bouillottes, paniers à salade, sans oublier les
parapluies
pour son épouse. Le travail effectué, il le reporte lui-même, de la
même
manière qu'à l'aller, à l'aide d'une charrette à 4 roues en bois,
supportant un
panier tressé, la même que celles utilisées par les
diaichottes de la vallée du Rupt,
pour apporter les denrées à vendre au marché : la voiture à panier.
Nous arrivons au
49, (j'y suis née). Une treille prospère sur la
façade sud. C'est une maison en pierre aux encadrements de fenêtres en
grès. Un
agréable jardin faisant suite à la cour descend jusqu'à Puis vient la
propriété de M. Bloch-Parnin, également marbrier,
son atelier jouxte notre maison. Il sera détruit plus tard, à la même
époque
qu'une maison de bois abandonnée. La maison d'habitation, belle demeure
avec
son jardin, est encore habitée par Jean Bloch, jusqu'à son décès en
1986. La
propriété a été rachetée ensuite pour abriter les bureaux de M. Guy
Bêche,
député du Doubs et, aujourd'hui, ceux de Pierre Muscovici député
européen.
Ensuite, ce sont les bureaux et divers entrepôts de la coopérative
agricole,
longtemps tenus par Jeangeorge. La glacière est leur voisine, grande
bâtisse
bordeau, abritant des pains de glace. Puis viennent les jardins et
l'immeuble
Cannel. Le rez-de-chaussée est aujourd'hui occupé par une boucherie.
Nous arrivons au
pont Blum traversant le Lizaine. Il est endommagé
lors de la dernière guerre 39 - 45. Les travaux d'extension de l'avenue
des
Alliés l'ont fait disparaître et l'usager actuel se rend à peine compte
qu'il
passe au-dessus d'une rivière.
La ruche
bourdonnante qu'est alors la cité, voit se dérouler bien
des fêtes, des commémorations, inaugurations, foires-expositions
artisanales,
salons des artistes montbéliardais.
En ce qui concerne notre père,
le
dessin, la peinture sont toujours bien vivants. Il fixe des endroits
pleins de
charme, aujourd'hui plus ou moins disparus ou modifiés: les bords de
l'Allan
avec ses saules, le Grand Goulot - aujourd'hui englobé dans les usines
Peugeot
à Sochaux, la promenade des fossés, une vue sur le Mont-Bart et
Saint-Mainboeuf, prise du Cavalier, le moulin de Raynans etc..
Notre Pays de Montbéliard et
le football ont toujours été un peu complices.
Avant les éclats
et la renommée
de l'équipe sochalienne, d'avant
la seconde guerre mondiale,
l'A.S.V. (association sportive de Valentigney), fait parler d'elle. On
la trouve en finale de
la coupe de France de football à Paris le 9 mai 1926 (battu 1 à 0 par
Marseille) . Des dessins d'Henri Sauldubois immortalisent l'événement
et nous
laissent les noms des valeureux joueurs de ce jour glorieux : Entz,
Simonin,
Lovy, Goll (capitaine), Rigoulot, Richard, Chavey, Haenny, Van Pratt,
Gredy,
Schaff. Le dessin paraît
dans le "Petit Parisien" du 9 mai 1926.
Ce dessin paraît
dans le journal local "L'Avenir Montbéliardais" du 3 décembre
1927.
Pour le 21ème
anniversaire de sa fondation, en 1927 est vraiment
riche en manifestations de toutes sortes. A
noter, les fêtes rustiques du 18 septembre à Bart sur le Rupt ! Patois
et
diaichottes sont au rendez-vous.
L'union des sociétés de familles
nombreuses d'Audincourt prend en charge l'organisation de la fête
Nationale des
Mères des 2 et 3 juin 1928. Monsieur le sous-préfet de Montbéliard en
est le
président d'honneur. Une fois encore, c'est Henri Sauldubois qui
illustre le
programme officiel, joli programme vraiment, tout entouré de têtes de
bambins
aux expressions si différentes et où une jeune maman est mise à
l'honneur. Très
pratique aussi, ce programme mentionne les heures des tramways de la
vallée d'
Hérimoncourt : le fameux et bien connu T.V.H. On pourra retrouver son
histoire dans "le Pays de Montbéliard au bon vieux temps" de Pierre
Grillot (illustrateur ? Henri Sauldubois. Editions
Rayot-Dépoutot 1967)
Les décors de
théâtre sont
aussi de son ressort : plusieurs fois il a l'occasion de le démontrer.
En 1926/27, il prête son concours à l'équipe théâtrale de "là-haut", issue
de la paroisse Saint-Mainboeuf de Montbéliard. Différentes oeuvres y
sont
interprétées; Jederman, des œuvres de Labiche, Eugénie Grandet en 1934.
Comment
ne pas nommer les acteurs passionnés que furent Mademoiselle Nicod,
Messieurs
Pierre Andréani, Thomas, Raymond Henri, Albert Schenberg dit Schœpec
(le roi du
rire) et beau-frère d'Henri Sauldubois, Marcel Belorgey, Stemlin,
Raymond
Maillot, Joseph Hilaire, Lehmann, sans oublier les accessoiristes et
machinistes ! Une sortie amicale clôture l'année. On prend le
car de bon
matin et en route, soit pour l'Alsace, les Vosges ou le Jura. C'est au
cours
d'une de ces sorties que le coup de crayon et l'humour de l'artiste se
révèlent
encore une fois. Le petit déjeuner est l'occasion d'un arrêt, en
Alsace, ce
jour là. En quittant le café, Henri Sauldubois, d'un coup de craie (il
en a
toujours dans sa poche) esquisse le portrait du cafetier sur la vitre
de la
porte. Stupéfaction du patron qui fait rentrer Henri et tout le monde
en disant
tout heureux: "C'est ma tournée !". Anecdote relatée par les nombreux
témoins.
En L'exposition
présente les oeuvres du marbrier F. Bloch, les
appliques en fer forgé et lustres de Roger Zenner, une salle à manger
par les
menuisiers-ébènistes Marini et Brugnogni, les stands Peugeot avec un
ensemble
de cycles, les outils des "Fils de Peugot-Frères" et tant d'autres
encore. La relation en est faite par le journal "Le Pays de Montbéliard
en
ces termes: "Un banquet clôture cette grande manifestation, les
applaudissements
saluèrent tous les nombreux orateurs, puis notre compatriote et ami
Henri
Sauldubois eut la généreuse idée d'offrir quelques-unes unes de ses
caricatures
pour la caisse de l' Ecole Pratique". Un dessin à la plume, toujours
plein
d'humour nous fait connaître les responsables du comité d'organisation
et les
notables. Ils avaient nom : Mademoiselle
Peteuil, Messieurs Canel, Weill, Goutherot, Damery,
Blazer, René Leloup, Monnot, Dorian, Richardot, Bloch, Walch, Tassion,
Vannière. (croquis page 24)
Vingt-cinq ans
après, soit en 1954, le journal local "Le
Comtois" fait mémoire de cette fameuse Foire-exposition Artisanale:
"Ceux qui se souviennent de la première Foire-exposition Artisanale de
1929, retrouveront ici un dessin publié à l'époque et dû au crayon de
l'artiste
montbéliardais Sauldubois".
Cet autre
montbéliardais, Marcel Richardot, professeur,
conférencier et poète compose une longue poésie à l'occasion de cette
Foire-exposition, ainsi intitulée : Aux
artisans, de tout cœur. Ce sont de
nombreuses strophes qui parlent de son rêve :
l'apparition de De mes dames d'honneur, je vois S'enfuir éperdument devant la pétroleuse (1ères autos à pétrole) La diaichotte à Sauldubois." Cette année 1929
génère décidément bien des festivités : elle voit
encore le concours de gymnastique, les 27, 28 juillet 1929 ; 25
sociétés
régionales y participent, accompagnées par l'harmonie municipale : les
Enfants
de Montbéliard. C'est encore Henri Sauldubois qui illustre le
programme.
Un saut de quelques années nous amène en 1932. Cette année-là, on commémore le centenaire de la mort de Georges Cuvier (du 9 au 14 juillet 1932). Les fêtes ne passent pas inaperçues. Tous les détails nous sont donnés dans le premier tome de Monsieur Pechin (auteur éditeur): "Emile Blazer - souvenirs Montbéliardais" (1977). Henri Sauldubois y collabore de tout son cœur d’enfant du pays avec Jules Vittini "Celui-ci vécut une vingtaines d'années au Pays de Montbéliard. Ancien élève des Beaux-arts de Milan, il créa une école de peinture au château, puis un atelier de décor de céramiques". (Est Républicain du 17 janvier 1988).
Le programme du centenaire, donne les précisions suivantes:
"Les décors
de la ville ont été conçus par les peintres Sauldubois et Vittini qui
se sont
attachés à reproduire des documents scientifiques qui, mieux que toutes
autres
ornementations fantaisistes, feront connaître à tous l'œuvre formidable
du
grand Cuvier dont Montbéliard s'honore."
De
fait, les décors de la rue Cuvier sont impressionnants. Ils rappellent
aux
moyens de différents arcs de triomphe, les travaux de Cuvier, créateur
de la
paléontologie et de l'anatomie comparée. Sur ceux-ci, faits de calicots
tendus
à double parois et éclairés intérieurement, sont brossés des animaux
préhistoriques. C'est grandiose, tout comme l'œuvre du grand biologiste
! Cuvier
publia en effet 142 mémoires, rapports, sur la zoologie, le règne des
vertébrés, les mammifères, les oiseaux, les reptiles, un volume
d'Anatomie et
Physiologie comparée, géologie etc. (Ces renseignements sont donnés
dans le
fascicule édité en 1969 pour le bicentenaire de la naissance de
Cuvier).
Le célèbre
mammouth, reconstitué par Emile Blazer, participe au
défilé dans les rues de la ville. Et le soir du mémorable dimanche 10
juillet Je me souviens de l'effervescence de ces journées : ces messieurs travaillent fiévreusement et passionnément ; c'est aussi un réel plaisir pour eux, je crois. Ils en font de même pour les décors de théâtre à l'occasion de la venue de la troupe de l'Opéra Comique de Paris se produisant le 9 juillet 1932. Elle interprète l'œuvre de Jean Richepin et Xavier Leroux :"Le Chemineau". Il
faudrait plusieurs volumes pour décrire les multiples activités
d'Henri Sauldubois. Quel commerçant, industriel de Montbéliard et
autres lieux
n'a recourt à sa compétence ?
Titre de couv. : "H. Sauldubois, peintre témoin de son temps". - DL 01-23669 (D4). - 920 (Br.) : 150 F. Sauldubois, Henry (1898-1981) -- Biographie BN 02686124 01-48063 |
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